vendredi 1 juillet 2011

Long Time No See

Our stay in Taiwan is almost over, it’s time for us to give you an overview of it, from a very subjective point-of-view.

We arrived here 5 months ago, after having spent 1 month travelling from Thailand to Singapore, including Malaysia. I strongly recommend you, if you have the opportunity to go to Asia through the ESLI exchange program, to take advantage of the free time between the end of 3rd year classes and the beginning of NCTU spring semester, to check what’s around. It is really worth it!

The first thing that I noticed when I arrived in Taiwan, is the fact that Taiwanese people are really welcoming and helpful. Even if someone does not speak any single word of English, he will do his best to help you if you need it. Another thing about Taiwan : tourism is not very developed. As a consequence, there is not that much of western people, so be prepared to take (a lot) of pictures with them, or to be photographed more or less discretely.

There are around 300 foreign students at the NCTU, forming a strong community. Indians, Mongolians, Swedish, Ukrainians, Netherlanders, Central Americans, South Africans, and so on. Most of the time, you will feel close to others foreigners, even if you don’t know them. It is easy to go for a small talk when hanging out in a bar. Foreigners are easy going outside of the campus as well.

During the semester, we have been travelling around Taiwan. There are a lot of things that you don’t want to miss, such as:

- Watching the sunrise on the peak of Alishan National Park during the cherry blossoms,

- Admiring Taipei landscape during the sunset from the 91st floor of Taipei 101,

- Riding a scooter through the impressive Taroko Gorges,

- Walking along the Kaohsiung Love River with your potential Taiwanese girlfriend/boyfriend,

- Going to Kenting during the Spring Break for a 3-days-in-a-row-party on the beach,

- Enjoying Taipei nighlife,

- And many others…

Even though I am glad to get back in France, this semester abroad was a great experience from a personal point of view. And it has a lot of interest from a professional point of view as well.

Edouard

jeudi 10 juin 2010

News from the U.S.A.


Bonjour,

Il est temps pour nous (Baptiste, Sylvain et Laurine) de poster un petit mot sur ce blog pour vous faire partager notre experience aux Etats-Unis. Nous sommes respectivement a New York, Washington DC et Philadelphie.

Ici, la vie est tres agreable, les semaines de travail chargees defillent a toute allure quant aux week end…ils sont « awesome » !!! Notre proximite geographique nous permet de nous retrouver chaque fin de semaine et de parcourir ensemble cet immense terrain de jeux ! New York, Boston, Washington, Newport, Philadelphie, le Mexique bientôt…on profite d’etre ici et on en prend plein les yeux !





























La vie ici est differente, on trouve de tout a n’importe quelle heure, on paye les paires de converse $20 et on peut voir des mamies commander un coca et porter des nike. Les journees de travail sont generalement plus courtes (il faut dire que les employes ici n’ont que 2 semaines de conges par an), il y a donc plus de temps libre pour les loisirs et de manière generale nous trouvons l’ambiance au travail plus « detendue ». La nourriture ? Et bien, c’est vrai qu’ici on mange souvent des burgers/frites mais il faut dire qu’ils sont vraiment excellents, rien a voir avec ceux du Mc Do (d’ailleurs ici on voit beaucoup moins de Mc Do qu’en France…).

Pour ce qui est de la voiture, elle est definitivement la reine !!










Etrangement, nous ne ressentons pas le sentiment d’etre perdus, c’est un peu comme si cet environnement, pourtant bien different, nous est familier, difficile a expliquer. Peut etre avons-nous trop regarder de series americaines…?

A bientôt,

Have a good one,

lundi 3 mai 2010

News de Montréal

Bonjour,

Cela fait maintenant 3 mois que je suis arrivé à Montréal. Après avoir un peu tardé à poster un petit récit de mon séjour ici, je fais part de mon expérience à ceux qui seraient tentés par une aventure en Nouvelle France.


Montréal, avec ses 1,7 millions d'habitants, est la métropole du Québec. C'est également la deuxième ville francophone du monde, après Paris, et elle offre un cadre de vie très agréable. Ville cosmopolite par excellence, Montréal est reconnue pour son ouverture et sa vitalité culturelle. En plus de la double identité anglo-francophone propre au Canada, on retrouve à Montréal de nombreuses autres communautés ethnoculturelles. Dans ses rues on entend donc parler français et anglais, mais aussi espagnol, italien, hindî, chinois... Pour résumer, Montréal c'est un peu Erasmus à l'échelle d'une ville !
Mais on y croise tout de même des "québécois de souche", nos "cousins d'Amérique" descendants des premiers colons français venus s'établir ici au XVIème siècle. On peut d'ailleurs voir à Montréal et partout au Québec de nombreux parcs et monuments à la mémoire des fondateurs de Nouvelle France. Parmi eux un célèbre marin d'Ille-et-Vilaine, de Saint-Malo plus exactement, un certain Jacques Cartier.
Généralement très attachés à leur identité francophone, les québécois défendent leur langue et cultivent leurs différences par rapport au "ROC" (prononcé à l'anglaise), le "Rest Of Canada". D'ailleurs en novembre 2006 le Premier ministre canadien Stephen Harper a reconnu que le Québec formait une nation à l'intérieur même du Canada. Même si cette motion n'a aucune valeur juridique, elle n'en est pas moins approuvée par une grande majorité des québécois. Cela s'explique par le fait que le Québec est un confetti d'à peine 7 millions de francophones entouré de 350 millions d'anglophones. Autant dire que si les québécois ne défendaient pas le français il aurait disparu depuis longtemps du continent ! Vue sous cet angle la situation du Québec fait alors penser à une autre histoire bretonne, celle d'Astérix, qui est d'ailleurs assez populaire ici pour les similitudes entre le village gaulois et le Belle Province (et non pas pour le très mauvais Astérix aux Jeux Olympiques avec Stéphane Rousseau...).

L'ambiance au travail est plus détendue qu'en France. Les gens sont plutôt décontractés et ils semblent avoir moins de pression. On donne aussi moins d'importance aux diplômes et on accorde plus de confiance aux personnes, notamment les jeunes diplômés, et il est alors plus facile d'évoluer (sous réserve d'être compétant...). Dumois c'est ce que j'ai remarqué dans mon entreprise, et mon avis est partagé par d'autres français rencontrés ici. Les rapports hiérarchiques sont aussi moins marqués, dans le pur style américain, et ce n'est pas désagréable. Même si le tutoiement systématique n'est pas synonyme d'amitié profonde, les relations me paraissent plus amicales.
Question emploi, ce n'est pas trop mal. Avant la crise le Québec avait un taux de chômage relativement faible, autour de 6%, et aujourd'hui la situation n'est pas catastrophique avec un peu plus de 8% de la population touchée. La région de Montréal étant de surcroit la plus active du Québec, les possibilités sont nombreuses.
Il y a également des désavantages, et pas des moindres aux yeux d'un français ! Les vacances par exemple, c'est deux semaines pour commencer et on gagne une semaine tout les 5 ans. Et à chaque changement d'emploi le compteur repart à zéro... La protection sociale est évidemment de moins bonne qualité qu'en France, même si le Québec possède une régie d'assurance maladie. La santé publique fait aussi l'objet de critiques quant à la qualité du service donné.
Sur le plan financier, les salaires sont inférieurs ici mais le coût de la vie étant moins élevé il n'y a pas beaucoup de différence au final. Et pour un touriste, un stagiaire ou un VIE l'Euro fort donne un avantage intéressant, mais il semble que cela ne va pas durer...


Bon, il est temps de conclure ! Personnellement, je pense que la société québécoise est le bon compromis entre les Etats-Unis et l'Europe : la façon de vivre est américaine, la façon d'être européenne. Ici on roule en pick-up V8 pour aller faire ses courses le dimanche à 19h00, mais on profite aussi d'une assurance maladie et on accueille 40 000 immigrants chaque année. La vie est aussi très agréable, surtout à Montréal, et c'est ce que viennent chercher les européens qui s'installent ici. Bon, après il faut supporter 6 mois d'hiver et "l'accin d'icitte", mais mis à part ça "c'est ben l'fun tsé !"


Matthias

lundi 26 avril 2010

News de Taïwan

Bonjour à tous,

Du côté de Taïwan, tout se passe bien. Nous avons de nombreux cours de chinois et d'anglais, les gens sont accueillants et chaleureux. A Taipei, les cours de Dr Sheu sont intéressants et on y effectue des présentations en Anglais avec les étudiants de ITT. Jeudi dernier, une visite a été organisée pour découvrir la logistique au sein de l'entreprise "Costco". Cela fut très enrichissant pour nous, étudiants en logistique. On a échangé à la fin de la visite et fait le bilan ensemble lors de notre retour en cours.

Depuis mon arrivée, je constate qu'il est difficile de trouver un stage à Taïwan. La majorité des employées parlent chinois et peu en anglais. Je l'ai d'ailleurs découvert lors d'un salon que NCTU organisait pour son anniversaire. On nous demande clairement si on peut parler chinois...
[...]
Ces deux premiers mois ont été enrichissants. On découvre une culture différente de la notre et on discute avec des étrangers. L'école organise régulièrement des événements, ce qui permet de participer à des activités et partager des moments forts, des excursions... L'anglais est le seul moyen de communiquer entre étrangers. On apprend beaucoup sur nous même et je pense que c'est bénéfique pour la vie professionnelle.

Bonne journée,
Adrien

lundi 22 mars 2010

Carte postale d'Australie

Quelques mots qui nous parviennent de deux de nos étudiants, partis en année de césure en Australie entre leur deuxième et 3ème année à l'ESLI...

Pour nous tout se passe bien ici. Maintenant presque 6 mois que nous sommes en Australie. Après 1mois à Sydney, Nous avons quitté le New South Wale
s pour le territoire tropicale du Queensland (2fois la superficie de la France) et ainsi habiter à Brisbane, la 3eme plus grande ville du pays. Nous avons démarré notre séjour avec 3mois de cours d'Anglais. Maintenant depuis mi-novembre nous travaillons. Nos emplois n'ont aucune relation avec la logistic/Supply chain. Pour ma part, j'ai fait différents types de jobs (construction, démolition, serveur...). Je travaille actuellement en tant que responsable des ouvertures dans un café/dégustation qui se veut français. Loubna, elle aussi a fait différents jobs (serveuse, cleaning, commerciale, superviseur dans un café). Elle travaille en ce moment principalement à temps plein en tant que Nanny pour une famille.
En tout cas, nous ne regrettons pas de ne pas avoir acquis plus d'expériences en relation avec la SCM ou d'être aller étudier. Notre parcours nous a permis d'acquérir des expériences et développer des compétences personnelles (comme s'adapter rapidement, être flexibles, travailler avec des personnes venant de millieu et cultures différentes, avoir à traiter avec des gens/employeurs louches ou qui essaie constatement de prendre avantage de nous). C'est également intéressant d'arriver dans un pays étranger et de devoir se débrouiller de A à Z (trouver un logement, se faire un réseau, trouver du travail...etc). La culture australienne pourrait se résumer à " bière,surf et barbecue".


Les australiens, (pour avoir vécu plusieurs mois avec) même s'ils sont très sympathiques et très décontractés, sont assez fermés et restent entre eux. Au niveau de l'anglais, les australiens ont un accent assez fort (leurs phrases ont des intonations de questions). Les étrangers qui parlent l'anglais "livre" nous disent qu'ils font beaucoup de fautes d'anglais et que leur écrit est catastrophique, comparé aux autres anglophones. En terme de carrière en SCM, pour diverse raison, l'Australie n'est pas facilement accessible. L'industrie de transformation est quasi-inexistante. Cependant, il y a des opportunités dans le secteur du services (logistiques, logiciels de gestion...). En tout cas, au niveau de l'emploi qualifié les australiens sont assez protectionnistes, et en dépit d'années de retard dans certains domaines, ils préfèrent embaucher australien. Après expérience personnelle, nous recommandons aux étudiants qui veulent aller en Australie de ne pas hésiter. Cependant, il faut réfléchir soigneusement à l'objectif qu'on a pour y aller (travailler ou étudier). Car les visas sont très peu flexibles et rétroactifs. De notre côté, un an en Australie nous aura été suffisant. En tout cas, l'australie est certainement parmi les pays que nous ayons visité l'un des plus agréables à vivre. Nous souhaitons une bonne continuation pour tout le monde.



Jean-Edouard & Loubna

mercredi 17 mars 2010

Arrivée d'un nouvel étudiant en République Tchèque

Aujourd’hui nous accueillons un nouveau VIE de l'ESLI. Il est la pour une période d’un an renouvelable et j’espère qu’il apportera également sa "pierre" a l’édifice du site pour partager ce qu’il découvrira.
Chaque année, chaque jour, chaque seconde, des changements s'opèrent et c'est une bonne opportunité pour reprendre sa vie en main, de ne pas laisser la déprime prendre le dessus. On laisse les préjugés de cotés pour se concentrer sur l’essentiel. Un déménagement ou un emménagement peut permettre de recommencer une « nouvelle » vie, comme une journée ensoleillée peut provoquer la bonne humeur à quiconque décidera de voir en ce soleil, l’espérance d’une verdure fleurissante, du renouveau d’une nature qui était la avant nous et sera encore là après nous.

Pendant ce périple de 2 ans, j'ai décidé de voir en chaque chose le positif plutôt que de toujours voir le négatif. De ne râler que lorsque c’est nécessaire et de laisser les nouvelles idées faire leurs preuves plutôt que de les rejeter juste par peur du changement. Du coup, chaque mauvaise nouvelle peut en devenir une bonne et le moral reste toujours au top. Ce n’est pas toujours évident, parfois on a un passage à vide, un peu déboussolé, mais la vie suit son cours. Ici, en Rép. Tchèque, les gens ont une autre mentalité qu'en France et le "paraître" semble complètement illusoire.

Par exemple, hier nous avions un tournoi de foot en salle. J'étais le gardien de l'équipe de français que nous avions constitué mais dans les buts, je ne savais pas comment être, faire, devant un parterre de supporter pro-tchèque. Et puis, au fil des matchs, j'étais tellement concentré sur les arrêts a faire, sur le "coaching" de mon équipe pour "marquer à la culotte" les attaquants de l'équipe adverse que j'en ai oublié complètement la notion de "classe". Nous sommes arrivés troisième de ce tournoi et nous avons gagné la ferveur des supporters qui applaudissaient lorsque nous marquions un but, nous encourageaient à avancer et à tenir bon, agitant notre drapeau français pour booster notre moral. Bien sur, nous avions aussi des détracteurs, qui nous hurlaient « rentrez chez vous » (en français dans le stade) , qu'on n'avait pas notre place, mais comme la plupart des remarques étaient en tchèque (donc incompréhensible pour nous), nous avons décidé de prendre ça comme des encouragements.
[...]
Le « nouveau » VIE semble s’acclimater comme il faut à la République Tchèque. Il a déjà trouvé son appartement, prévoit de le meubler, commence déjà a reconnaître des sonorités grâce à ses précédents voyages en Pologne ou en Hongrie, des mots identiques, etc. Le premier jour n’est pas toujours évident, mais il semble trouver ses marques et je pense qu’il pourra vraiment apporter quelque chose de neuf à cette organisation. La première journée est dédiée à l’administratif, aux papiers à mettre à jour et à signer, à la remise de la blouse, à la découverte de l’activité, à la visite du site et aux premiers échanges avec les collaborateurs. En arrivant on pense toujours savoir déjà plusieurs choses, les flux basiques par exemple et lorsque l’on rentre dans les détails, on découvre que ce n’est pas si évident que ça, que les informations que l’on croit détenir ne sont en fait que la partie émergée de l’iceberg et que la route est longue et sinueuse avant de connaître tous les tenants et les aboutissants de l’organisation.

Certaines décisions apparaissent comme inopportunes alors que, d’un point de vue stratégique qui peut nous échapper, elles sont les meilleures décisions à prendre.

La chance de ce nouveau VIE est d’être arrivé avec ce beau temps, qui ouvre l’esprit au renouveau. Souhaitons lui bonne chance pour cette première journée, que son intégration se fasse rapidement et qu’il s’acclimate a cette nouvelle culture. Julien, réjouis toi de la République tchèque. =)
Corentin (P14)

Afficher Internship Abroad sur une carte plus grande

Vous trouverez ici les "Guides Pays" compilés par les étudiants du projet INTERNSHIP ABROAD de l'ESLI.

Ces documents téléchargeables contiennent des informations utiles sur les stages à l'étranger.

Attention: certains détails peuvent être obsolètes.

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