lundi 22 mars 2010

Carte postale d'Australie

Quelques mots qui nous parviennent de deux de nos étudiants, partis en année de césure en Australie entre leur deuxième et 3ème année à l'ESLI...

Pour nous tout se passe bien ici. Maintenant presque 6 mois que nous sommes en Australie. Après 1mois à Sydney, Nous avons quitté le New South Wale
s pour le territoire tropicale du Queensland (2fois la superficie de la France) et ainsi habiter à Brisbane, la 3eme plus grande ville du pays. Nous avons démarré notre séjour avec 3mois de cours d'Anglais. Maintenant depuis mi-novembre nous travaillons. Nos emplois n'ont aucune relation avec la logistic/Supply chain. Pour ma part, j'ai fait différents types de jobs (construction, démolition, serveur...). Je travaille actuellement en tant que responsable des ouvertures dans un café/dégustation qui se veut français. Loubna, elle aussi a fait différents jobs (serveuse, cleaning, commerciale, superviseur dans un café). Elle travaille en ce moment principalement à temps plein en tant que Nanny pour une famille.
En tout cas, nous ne regrettons pas de ne pas avoir acquis plus d'expériences en relation avec la SCM ou d'être aller étudier. Notre parcours nous a permis d'acquérir des expériences et développer des compétences personnelles (comme s'adapter rapidement, être flexibles, travailler avec des personnes venant de millieu et cultures différentes, avoir à traiter avec des gens/employeurs louches ou qui essaie constatement de prendre avantage de nous). C'est également intéressant d'arriver dans un pays étranger et de devoir se débrouiller de A à Z (trouver un logement, se faire un réseau, trouver du travail...etc). La culture australienne pourrait se résumer à " bière,surf et barbecue".


Les australiens, (pour avoir vécu plusieurs mois avec) même s'ils sont très sympathiques et très décontractés, sont assez fermés et restent entre eux. Au niveau de l'anglais, les australiens ont un accent assez fort (leurs phrases ont des intonations de questions). Les étrangers qui parlent l'anglais "livre" nous disent qu'ils font beaucoup de fautes d'anglais et que leur écrit est catastrophique, comparé aux autres anglophones. En terme de carrière en SCM, pour diverse raison, l'Australie n'est pas facilement accessible. L'industrie de transformation est quasi-inexistante. Cependant, il y a des opportunités dans le secteur du services (logistiques, logiciels de gestion...). En tout cas, au niveau de l'emploi qualifié les australiens sont assez protectionnistes, et en dépit d'années de retard dans certains domaines, ils préfèrent embaucher australien. Après expérience personnelle, nous recommandons aux étudiants qui veulent aller en Australie de ne pas hésiter. Cependant, il faut réfléchir soigneusement à l'objectif qu'on a pour y aller (travailler ou étudier). Car les visas sont très peu flexibles et rétroactifs. De notre côté, un an en Australie nous aura été suffisant. En tout cas, l'australie est certainement parmi les pays que nous ayons visité l'un des plus agréables à vivre. Nous souhaitons une bonne continuation pour tout le monde.



Jean-Edouard & Loubna

mercredi 17 mars 2010

Arrivée d'un nouvel étudiant en République Tchèque

Aujourd’hui nous accueillons un nouveau VIE de l'ESLI. Il est la pour une période d’un an renouvelable et j’espère qu’il apportera également sa "pierre" a l’édifice du site pour partager ce qu’il découvrira.
Chaque année, chaque jour, chaque seconde, des changements s'opèrent et c'est une bonne opportunité pour reprendre sa vie en main, de ne pas laisser la déprime prendre le dessus. On laisse les préjugés de cotés pour se concentrer sur l’essentiel. Un déménagement ou un emménagement peut permettre de recommencer une « nouvelle » vie, comme une journée ensoleillée peut provoquer la bonne humeur à quiconque décidera de voir en ce soleil, l’espérance d’une verdure fleurissante, du renouveau d’une nature qui était la avant nous et sera encore là après nous.

Pendant ce périple de 2 ans, j'ai décidé de voir en chaque chose le positif plutôt que de toujours voir le négatif. De ne râler que lorsque c’est nécessaire et de laisser les nouvelles idées faire leurs preuves plutôt que de les rejeter juste par peur du changement. Du coup, chaque mauvaise nouvelle peut en devenir une bonne et le moral reste toujours au top. Ce n’est pas toujours évident, parfois on a un passage à vide, un peu déboussolé, mais la vie suit son cours. Ici, en Rép. Tchèque, les gens ont une autre mentalité qu'en France et le "paraître" semble complètement illusoire.

Par exemple, hier nous avions un tournoi de foot en salle. J'étais le gardien de l'équipe de français que nous avions constitué mais dans les buts, je ne savais pas comment être, faire, devant un parterre de supporter pro-tchèque. Et puis, au fil des matchs, j'étais tellement concentré sur les arrêts a faire, sur le "coaching" de mon équipe pour "marquer à la culotte" les attaquants de l'équipe adverse que j'en ai oublié complètement la notion de "classe". Nous sommes arrivés troisième de ce tournoi et nous avons gagné la ferveur des supporters qui applaudissaient lorsque nous marquions un but, nous encourageaient à avancer et à tenir bon, agitant notre drapeau français pour booster notre moral. Bien sur, nous avions aussi des détracteurs, qui nous hurlaient « rentrez chez vous » (en français dans le stade) , qu'on n'avait pas notre place, mais comme la plupart des remarques étaient en tchèque (donc incompréhensible pour nous), nous avons décidé de prendre ça comme des encouragements.
[...]
Le « nouveau » VIE semble s’acclimater comme il faut à la République Tchèque. Il a déjà trouvé son appartement, prévoit de le meubler, commence déjà a reconnaître des sonorités grâce à ses précédents voyages en Pologne ou en Hongrie, des mots identiques, etc. Le premier jour n’est pas toujours évident, mais il semble trouver ses marques et je pense qu’il pourra vraiment apporter quelque chose de neuf à cette organisation. La première journée est dédiée à l’administratif, aux papiers à mettre à jour et à signer, à la remise de la blouse, à la découverte de l’activité, à la visite du site et aux premiers échanges avec les collaborateurs. En arrivant on pense toujours savoir déjà plusieurs choses, les flux basiques par exemple et lorsque l’on rentre dans les détails, on découvre que ce n’est pas si évident que ça, que les informations que l’on croit détenir ne sont en fait que la partie émergée de l’iceberg et que la route est longue et sinueuse avant de connaître tous les tenants et les aboutissants de l’organisation.

Certaines décisions apparaissent comme inopportunes alors que, d’un point de vue stratégique qui peut nous échapper, elles sont les meilleures décisions à prendre.

La chance de ce nouveau VIE est d’être arrivé avec ce beau temps, qui ouvre l’esprit au renouveau. Souhaitons lui bonne chance pour cette première journée, que son intégration se fasse rapidement et qu’il s’acclimate a cette nouvelle culture. Julien, réjouis toi de la République tchèque. =)
Corentin (P14)

lundi 15 mars 2010

Poppy Country

GoedeMorger,

I arrived in Eindhoven (Netherlands) two months ago. I realise my internship under a V.I.E (volontariat international Entreprise) in this country. I’m working as a supply chain assistant and transport manager in a company which produces Luxury Packaging.

The Netherlands is a really nice country; the country size is not much bigger than Brittany. There are a lot of beautiful cities (e.g Amsterdam), lot of foreign people, the social status is very high, the weather is not so bad at this time (one month ago it was minus 10°C) and most people get around by bike because it’s a flat country and the Netherlands is under sea level.

I’m currently living in Eindhoven which could also be named Phillips city. Philips is the main employer of the city with around 20 000 employees. Twenty years ago it was 45000 but Philips now prefers to produce in the east of Europe. Philips has its own museum there, the main place has taken the name of Philips' founder and the whole city live around the Philips atmosphere. For example, Philips owns the PSV Eindhoven (Philips stadium Veldhoven) a famous team in Europe which is very popular here. In consequence you cannot ignore that here.

Eindhoven is a very nice city, roads are perfect, you can find all famous shop, there are a lot of Pubs, Eindhoven is not the most beautiful city but the global atmosphere is very nice and you feel comfortable to live here.

What about work? People work 40 hours per week minimum, employees are really part of their company. They try to do their best all the time for the company, employees work with very strict standards, and the level of demand is really high. In a lot of companies, there is again the difference between blue and white shirt due to their strict standard. However the atmosphere of working is very good and integrating
a team is very easy. The only problem could be the language. In the Netherlands, people speak Dutch a really difficult language. Nevertheless, about 90% of them speak English very well.

So that's it for the moment!!! I just enjoy working and live here at the moment.

Take care,

Ronan

Afficher Internship Abroad sur une carte plus grande

Vous trouverez ici les "Guides Pays" compilés par les étudiants du projet INTERNSHIP ABROAD de l'ESLI.

Ces documents téléchargeables contiennent des informations utiles sur les stages à l'étranger.

Attention: certains détails peuvent être obsolètes.

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